Ringarde, mal aimée, réputée peu efficace : elle n’excite personne… à part Jean Allary. Pour le partner en charge du planning stratégique d’Artefact et auteur de l’excellent blog NLQ, il est urgent de redonner ses lettres de noblesse à la « bannos » qui pullule sur l’essentiel des médias en ligne. D’une part, ses investissements se comptent encore en milliards d’euros avec un ROI certain pour nombre d’annonceurs. Et surtout, la bannière est « le cheval de Troie d’innovations marketing » liées à la data et à
Source : Pourquoi nous devrions tous faire l’éloge de la bannière