On connaît bien le phénomène du côté du marketing, encore plus dans ce qu’on appelle pompeusement le “digital” (numérique pour les francophiles) : la hype tue la hype. Ou disons qu’une nouvelle hype vient balayer la précédente dans un cycle assez régulier permettant aux consultants spécialisés de retourner leur veste pour suivre le sens du vent et continuer à cannibaliser un secteur déjà bien bouché.